Photo par Bernard Tremblay
Grive fauve
Bernard Tremblay
13 juillet 2016
Manning Park
La sous-espèce de grive fauve qui se retrouve en Colombie Brittanique est plus brunâtre, tel sur la photo, qu’au Québec. Les grives de Swaison et solitaire ont des taches sur la poitrine plus foncées et aussi ont des lignes malaires plus prononcées.
Bernard Tremblay
de Calgary, Alberta
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301 Espèces différentes observées
Grive fauve
Cette grive se retrouve dans les forêts de feuillus où le sous-bois est riche et la voûte forestière ouverte. Elle aime les secteurs en régénérescence. Son chant est facile à reconnaître: «Vi-ur Vi-ur, Vi-ur Vi-ur» dont la deuxième partie du chant est descendante. Comme toutes les grives, on croirait qu'elle chante dans un tuyau. C'est notre grive la plus rousse et la moins tachetée sur la poitrine. Le dessus est brun roux de la tête à la queue et le dessous est blanc parsemé de taches pâles et floues mal définies. Les deux sexes sont semblables.
Faits marquants
Comme la plupart des grives, elle chante plus activement en soirée que le matin. Elle se nourrit principalement au sol. Pour l'apercevoir, il faut ausculter le plancher de la forêt.
6 Observations