Photo par Bernard Tremblay
Grèbe esclavon
Bernard Tremblay
01 octobre 2016
Chestermere
Le grebe esclavon peut être difficile à distinguer du grèbe à cou noir à l'automne. Le grèbe esclavon a des joues blanches et un cou plus blanc comme sur la photo. Ils migrent en grand nombre à ce temps-ci de l'année.
Bernard Tremblay
de Calgary, Alberta
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Grèbe esclavon
Le plumage contrasté de ce joli grèbe ne laisse pas indifférent. Il niche sur les petits étangs d’eau douce ou légèrement saumâtre et hiverne près des côtes. Le nid est flottant ou installé sur une plate-forme de plantes aquatiques. Généralement silencieux en hiver, on peut l’entendre émettre un trille strident en temps de nidification. Le mâle, alors particulièrement brillant, a la tête et le dos noirs, le cou et les flancs marron et arbore deux « cornes » dorées.
Faits marquants
Ce grèbe ingurgite régulièrement ses propres plumes afin d'en tapisser son estomac. Ces plumes entremêlées agissent comme un filtre, retenant notamment les arêtes de poisson. Les parents en donnent même à leurs poussins pour que se forme tôt leur filtre stomacal. Comme la plupart des grèbes, les petits du Grèbe esclavon se réfugient souvent sur le dos des parents, les accompagnant même en plongée, bien agrippés à cheval entre leurs ailes.
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